En préparant dès maintenant votre huile pimentée, vous aurez cet été de quoi parfumer vos plats, faire revenir vos légumes, mariner vos viandes d’été, tonifier votre vinaigrette… L’avantage, c’est que l’on met les aromates que l’on veut. En l’occurrence, le piment d’espelette et le romarin sont de mon jardin.

Et si on aime, on multiplie facilement les proportions. Cette huile, versée dans une petite bouteille en verre, se conserve bien à l’abri de la lumière et de la chaleur, et peut s’avérer une bonne idée pour garnir un panier gourmand.

Le truc en plus :
si vous l’aimez bien piquante, n’enlevez pas les graines du piment.

Lors d’une de mes virées chez Tang, le fameux supermarché asiatique, j’ai craqué pour ces graines de soja. Je les connaissais sous forme torréfiées et grillées, à consommer à l’apéritif (d’ailleurs, j’en ai éclusé une certaine quantité, des ces petits paquets de soja vert grillé trouvés à Londres chuuut !), mais ne savais pas qu’on pouvait les trouver à cuire.
Le poids de mon sac qui m’a obligée à choisir parmi toutes les variétés : il y avait aussi du soja noir, du soja de couleur beige, des grosses graines, des plus petites … je sais que je dois y retourner bientôt, et forte de cette première expérience, je vais toutes les essayer !

J’ai choisi pour accompagner ces graines une des sauces italiennes sélectionnées par Nathalie. La « Sauce rouge à la truffe » de La Favorita Fish a très largement trusté la première marche du podium. Toutes sont de qualité, mais c’est elle que nous avons préférée, de loin ! Elle est d’un rouge magnifique et son goût est extrêmement subtil.
Je ne connaissais pas cette marque de produits piémontais préparés à l’ancienne avec grand soin.

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J’ai bien l’impression que la mode des courges se maintient en forme depuis plusieurs années. Après le potimarron apparu timidement chez mon maraîcher il y a déjà quelques années (je me souviens, ils étaient si rares qu’il fallait les guetter, désormais il en vend toutes les semaines, tout l’hiver), puis la butternut et la courge spaghetti, sans compter l’inénarrable pâtisson, joli mais sans goût, voici qu’il ma proposé une de ses petites dernières : la sucrine du Berry.

C’est une courge d’assez petite taille (moins d’1 kg), en forme de poire, à la peau terne mais à la chair orange vif. Sa texture est intermédiaire entre le potiron et le potimarron.

J’ai voulu la mélanger à de l’huile d’olive fine, pour en faire un espèce de soufflé que j’appelle « minute » parce qu’il se cuit au micro-ondes.

Le truc en plus :

La purée de courge n’est pas minute mais elle peut tout à fait être préparée à l’avance. Comme il est bien connu que les soufflés n’aiment pas attendre, il faut donc bien s’organiser pour les cuire au bon moment.

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